Et si le manager du futur était le manager bienveillant ?

Manager agile, Manager 2.0, Manager 3.0… Et si le manager du futur était en fait le manager bienveillant ?

J’entends déjà des rabats-joie rétorquer « mais on est pas dans le monde des Bisounours ! Il faut bien quelqu’un qui gère, supervise, contrôle, décide, valide… sinon c’est l’anarchie ! »

J’ai une question pour vous : quand et pourquoi a-t-on décidé de faire de la bienveillance un mot tabou sur le lieu de travail et d’ériger en même temps la malveillance (ou en tout cas le manque de bienveillance) comme seul et unique moyen d’atteindre un objectif dans une organisation ?

 

Partagez

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.